EndToEndId

La norme ISO 20022 décrit EndToEndId de la manière suivante :

Présence :  [1..1]
Définition :  Identification unique attribuée par l'expéditeur pour identifier sans ambiguïté la transaction. Cette 
identification est transmise, sans modification, tout au long de la chaîne de bout en bout.
Utilisation : L'identification de bout en bout peut être utilisée pour le rapprochement ou pour des tâches de liaison relatives à la transaction. 
Elle peut être incluse dans plusieurs messages relatifs à la transaction.
Type de données :  Max35Text, Format :  maxLength : 35, minLength : 1
 
Pour conclure, l'élément est obligatoire selon le schéma et il doit être unique. L'unicité est vérifiée par le validateur, sauf décision contraire de la banque.
 
Ici, il est intéressant de noter que le caractère unique combiné avec le caractère obligatoire de l'élément peut créer certains problèmes. Une solution courante est de permettre d'alimenter l'élément avec la valeur NOTPROVIDED. Si la banque utilise cette méthode notre validateur ignore la valeur NOTPROVIDED lors du contrôle de l'unicité.
 

Exemple :

<PmtInf>
<CdtTrfTxInf>
<EndToEndId>1</EndToEndId>
</CdtTrfTxInf>
</PmtInf>
<PmtInf>
<CdtTrfTxInf>
<EndToEndId>2</EndToEndId>
</CdtTrfTxInf>
<CdtTrfTxInf>
<EndToEndId>NOTPROVIDED</EndToEndId>
</CdtTrfTxInf>
<CdtTrfTxInf>
<EndToEndId>NOTPROVIDED</EndToEndId>
</CdtTrfTxInf>
<PmtInf>

(Divers éléments ont été supprimés pour des raisons d'exemple)

 

Le format de l'exemple est valide si le contrôle de la valeur NOTPROVIDED a été convenu avec la banque. Par défaut EndToEndId est toujours traité comme décrit dans le document ISO 20022, donc selon ce dernier une erreur serait détectée dans l'exemple ci-dessus.